Ferdinand buisson et la Société Des Nations

Petit Comtois du 28 août 1918 (p.2) Ferdinand Buisson n’est pas le premier à placer son espérance pour la paix dans une Société Des Nations (SDN), mais il entend bien convaincre pour l’adhésion à ce projet ambitieux. Rappelant les engagements de l’Assemblée Nationale en ce sens, l’année précédente, conscient de l’inaction des élus et voulant … Lire la suite Ferdinand buisson et la Société Des Nations

La Société des Nations, un projet encore incertain

Le Petit Comtois du 11 août 1917  Assimilé à la volonté des tenants d’un courant pacifiste béat, le projet de la Société des Nations était rejeté par beaucoup. Des nationalistes français y voyaient une utopie qui aurait empêché leur pays de profiter de tous les avantages d’une victoire attendue. S’interrogeant d’abord, d’une façon générale, sur la … Lire la suite La Société des Nations, un projet encore incertain

Charles Beauquier, du pacifisme au nationalisme anti-allemand.

Le Petit Comtois du 16 novembre 1914 Charles Beauquier, ancien député du Doubs, est alors âgé de 81 ans, et s’est retiré de la vie politique depuis peu ; il ne s’est pas représenté aux élections législatives du printemps 1914. À cette date, à Besançon, il est encore une figure du radicalisme et du régionalisme. Souvent, … Lire la suite Charles Beauquier, du pacifisme au nationalisme anti-allemand.

Débat entre Albert Mathiez et Thédore Ruyssen…

…sur l’avenir de l’Allemagne vaincue. Les Petits Comtois des 13 et 14 novembre Après la grande bataille de la Marne, avec l’arrêt  et le recul des forces allemandes, la croyance en la victoire a conduit de nombreux Français à  proposer le démantèlement de l’Allemagne vaincue. Le Petit Comtois s’en faisait l’écho dès le 19 septembre. … Lire la suite Débat entre Albert Mathiez et Thédore Ruyssen…

Retour à une seule édition, mais branle-bas de combat.

Le Petit Comtois du vendredi 31 juillet Charles Beauquier persiste dans son ironique désaveu des pacifistes et du Tribunal de la Haye. Il avait déjà montré son agacement vis à vis des pacifistes dans une tribune du 4 mai 1914. Ici, il va jusqu’à imaginer un lien de cause à effet entre la réunion d’un … Lire la suite Retour à une seule édition, mais branle-bas de combat.

Deux éditions. Beaucoup d’agitation…

Le Petit Comtois du jeudi 30 juillet 1914 Les unes des deux éditions sont intégralement consacrées  au conflit austro-serbe et à ses effets en Europe. L’essentiel des colonnes énumère les informations les plus récentes.  Une part notable concerne l’Autriche-Hongrie, son plan de guerre, ses raisons, sa responsabilité ; la position allemande paraît encore évolutive avec l’action … Lire la suite Deux éditions. Beaucoup d’agitation…

Le Congrès pacifiste…relégué en page 4 du Petit Comtois

Le Petit Comtois du 28 juin 1914 Il est significatif de trouver seulement en page 4 du Petit Comtois du 28 juin un article sur le Congrès de la paix se tenant à Lyon en même temps que la foire internationale. La une était réservée à l‘analyse faite par Cordelier du retard que risquait de … Lire la suite Le Congrès pacifiste…relégué en page 4 du Petit Comtois

« Pauvre Germania »

Le Petit Comtois du 17 mai 1914 Encore une chronique pleine d‘une  méfiance moqueuse envers l’Allemagne, de la part de L. Cordelier, chroniqueur du Petit comtois en charge des affaires internationales. Elle commence par une ironie grinçante et méprisante à l’encontre de Gottlieb von Jagow, ministre allemand des affaires étrangères depuis 1913. Celui-ci, dans le … Lire la suite « Pauvre Germania »

Quand le Petit Comtois modère son nationalisme pour en appeler à la paix comme les socialistes.

Le Petit comtois du 26 janvier 1914 Nous avons vu que la rubrique Opinions de la une était fréquemment confiée à des auteurs dont le nationalisme donnait l’orientation dominante du journal. Que ce soit L. Cordelier ou G. Clemenceau, leur expression pouvait être virulente. Mais il faut souligner une fois de plus que ce journal d’opinion … Lire la suite Quand le Petit Comtois modère son nationalisme pour en appeler à la paix comme les socialistes.

Jaurès, un pacifiste prêt à la guerre défensive.

Le Petit Comtois du 19 juin 1913 Porter le service militaire à trois ans est devenu un débat politique dès 1911. Je reviendrai sur cette loi votée en août 1913. Ce que je retiens de cet extrait du Petit Comtois est la relation de l’intervention de Jaurès à propos de cette loi.  On n’est pas surpris de … Lire la suite Jaurès, un pacifiste prêt à la guerre défensive.